Revoilà un nouvel article sur un produit de la marque Lindt, il s'agit cette fois d'un produit saisonnier, un classique des fêtes de Noël. Un petit plaisir que j'apprécie de retrouver chaque année. Il existe plusieurs variétés (lait, blanc vanille, lait infini frisson et noir,) avec même des assortiments. Je les aime toutes sauf celle à la menthe que je n'ai jamais goûté. N'étant pas un grand fan du mariage chocolat et menthe je ne m'y suis pas risqué. :) Il y a aussi eu des déclinaisons éphémères (rocher,...).
Pour rappel, la société Lindt ou Lindt & Sprüngli produit du chocolat depuis le 19e siècle. Cette entreprise Suisse est très connue et ses produits sont vendus dans de nombreux pays. Les chocolats Lindt sont synonymes de qualité pour beaucoup de consommateurs. J'aime beaucoup de ses produits, notamment ceux de la gamme Excellence. ;) Le chocolat Pyrénéens est un produit festif que je connais bien. Dernièrement je me demandais d'où venait son nom, bien éloigné des évocations Alpines de la marque Suisse.
Les Pyrénéens ont une histoire bien particulière, elle commence en 1924 par la fondation de la Chocolaterie de Rozan par un certain Maurice Rozan de Mazilly. Cette société fut créée à Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées-Atlantiques. Parfait, on commence à comprendre d'où vient le nom. :) En 1925, le Maître-Chocolatier décide de créer un chocolat reproduisant les sensation d'une pâtisserie au fourrage glacé qu'il avait dégusté à Vienne. Il y parviendra au bout de deux ans de travail (donc en 1927). En 1953 il suggère à Lindt d'implanter une usine, les suisses prennent d'ailleurs le contrôle de la chocolaterie pyrénéenne en 1956. Apparemment la production de cette spécialité aurait abandonnée durant une vingtaine d'années après la seconde guerre mondiale, elle aurait repris suite à l'arrivée d'un nouveau directeur de site dans les années 1960.
Il existe plusieurs formats pour les Pyrénéens, j'achète le plus souvent le ballotin de 30 bouchées. La boîte aux lignes droites est de couleur blanche, évoquant ainsi la neige. Un bleu glacier est aussi utilisé, renforçant l'idée de fraîcheur. La boîte est protégée par un film plastique épias et transparent. Il y a trois faces identiques, on y trouve le logo Lindt et le nom de la gamme devant un dessin de montagnes. En bas on a une suggestion de présentation avec trois chocolats présentés de différentes manières sur une surface givrée. Celui du centre est emprisonné dans un glaçon. On devrait avoir compris le principe de "fraîcheur". Une bande verticale bleue est présente à droite, elle annonce la variété avec tout en bas le nombre de portions contenues.
Ballotin de 30 Pyrénéens Lait |
Le côté droit nous tente avec une présentation des autres variétés de Pyrénéens tandis que le gauche nous explique les spécificités gustatives et l'histoire de cette spécialité.
Côté droit. |
Côté gauche. |
Le dessous nous offre plus de littérature. :) On retrouve en haut des logos Lindt & Sprungli avec une courte description de la société puis on a une nouvelle description du produit pour nous inciter à l'acheter. En dessous on trouve la liste des ingrédients, un tableau fournissant les informations nutritionnelles puis les coordonnées du service consommateurs, les conseils de conservation, la DLUO avec un numéro de fabrication. Viennent ensuite des garanties de qualité et une indication précisant que le chocolat est fabriqué en France, à Oloron-Sainte-Marie. On respecte donc la tradition. :) Pour finir on a le tableau fournissant les informations nutritionnelles, le logo Point Vert, le poids net (219g) et le code-barres. Les couleurs simples et sobres contribuent à valoriser le produit.
Face inférieure. |
Liste des ingrédients :
Il y a environ une quinzaine d'ingrédients sans aucun pourcentage. La liste débute par des matières grasses végétales (coprah et karité) puis du sucre. On a ensuite du cacao sous forme de beurre et de pâte.
Puis c'est au tour des produits laitiers : poudre de lait, lactose, beurre concentré et poudre de lait écrémé. Au vu de tout ça on sent déjà que ça va être gras en bouche. :) Les amandes et noisettes ne devraient pas pas arranger l'affaire. Après l'émulsifiant on a plusieurs arômes dont deux de vanille. L'un est naturel, l'autre non. J'aimerais bien connaître la raison. Purement économique ?
Après lecture de cette fabuleuse liste j'ai quelques doutes concernant le côté authentique de ces chocolats. Je ne crois pas que Maurice Rozan de Mazilly utilisait de telles matières grasses végétales ainsi que des arômes artificiels dans ses recettes. Enfin, j'ai l’impression que les merveilles de la mondialisation et de l'agroalimentaire sont passées sur les valeurs traditionnelles telles un char de bataille sur une voiture de tourisme....
J'aimerais bien trouver d'autres listes plus anciennes pour pouvoir comparer, celle-ci affiche par exemple le taux de cacao. On n'a plus cette donnée sur la version 2015..... Lindt signale maintenant que ces chocolats ne contiennent pas d'alcool, grosse déception pour ceux qui comptaient se bourrer la gueule avec. :(
Informations nutritionnelles :Après lecture de cette fabuleuse liste j'ai quelques doutes concernant le côté authentique de ces chocolats. Je ne crois pas que Maurice Rozan de Mazilly utilisait de telles matières grasses végétales ainsi que des arômes artificiels dans ses recettes. Enfin, j'ai l’impression que les merveilles de la mondialisation et de l'agroalimentaire sont passées sur les valeurs traditionnelles telles un char de bataille sur une voiture de tourisme....
J'aimerais bien trouver d'autres listes plus anciennes pour pouvoir comparer, celle-ci affiche par exemple le taux de cacao. On n'a plus cette donnée sur la version 2015..... Lindt signale maintenant que ces chocolats ne contiennent pas d'alcool, grosse déception pour ceux qui comptaient se bourrer la gueule avec. :(
Bon bah là c'est du lourd ! Je m'y attendais en lisant la liste des ingrédients mais pas autant tout de même. Pour rester dans le thème on peut dire qu'on atteint des sommets. ;) Au niveau des chocolats on annihile le record de lipides sur ce blog , il était d'ailleurs détenu par un autre produit Lindt.
Les informations sont seulement exprimées pour 100g, il faudra calculer un peur pour déterminer les valeurs par bouchée. Comme je le disais on a un très fort taux de lipides, 57g pour 100g dont 33g d'acides gras saturés. Les glucides sont aussi bien présents (33g) et ce ne sont que des "sucres rapides". On peut signaler un peu de protéines et de sel mais c'est anecdotique en face des chiffres des lipides et glucides. :)
Les informations sont seulement exprimées pour 100g, il faudra calculer un peur pour déterminer les valeurs par bouchée. Comme je le disais on a un très fort taux de lipides, 57g pour 100g dont 33g d'acides gras saturés. Les glucides sont aussi bien présents (33g) et ce ne sont que des "sucres rapides". On peut signaler un peu de protéines et de sel mais c'est anecdotique en face des chiffres des lipides et glucides. :)
La valeur énergétique est très élevée, je pense que c'est à cause des matières grasses végétales. Elles expliquent d'ailleurs la forte proportion de lipides. Avec 669 kcal pour 100g cette spécialité est clairement à consommer de façon très modérée. Sa fiche Open Food Facts permet de s'en rendre compte en un coup d’œil, il est noté E. Un Pyrénéen ayant une masse de 7,3g on obtiendra ainsi 48,84 kcal par portion. Cela permet de se faire plaisir avec un apport raisonnable. ;)
Ouverture et dégustation :
Il faut d'abord se débarrasser de l'étui en plastique pour accéder à la boîte que l'on aura préalablement installée au frais. On doit ensuite décoller un scotch pour ouvrir le ballotin à la manière d'un coffre au trésor. On tombe sur une plaque avec des feuilles de papier collées de manière à faire une structure alvéolée. Elle est recouverte d'une feuille plastique métallisée affichant le logo Lindt, le nom du produit et des points d'interrogation. Autant la présence de la feuille est aisément compréhensible (protection) autant celle des symboles de ponctuation me laisse perplexe.
Après avoir soulevé cette protection je découvre enfin des Pyrénéens. Ils sont disposés sur deux lignes dans une barquette en plastique de couleur aluminium. Cette dernière contribue aussi à la protection des bonbons des chocs et de l'écrasements. Il y a trois couches comme celle-ci, portant ainsi le total de chocolats à trente.
Ouverture de la boîte. |
Zoom sur un chocolat emballé. |
Je m'empare de l'une des bouchées chocolatées. Elle est emballée dans un fin papier aluminium sur lequel on retrouve le nom du produit et les gros points d'interrogation. Je retire cette dernière protection pour enfin découvrir un Pyrénéen.
Il ressemble à un petit lingot aux formes arrondies. Il est d'une couleur marron clair, belle et homogène. On reconnaît de suite un chocolat au lait mat et lisse. Il se forme une légère buée dessus comme on l'a avant mis au frais, cela lui donne un joli côté givré. En dessous il présente un motif avec de petits losanges, sans doute dû aux conditions de fabrication. On peut noter que ce motif marque directement le papier d'emballage à cause de sa finesse.
Le chocolat est lisse et doux grâce aux courbes. Le passage au réfrigérateur l'a rendu dur au toucher et évidemment froid. :) Attention à ne pas le tenir trop longtemps entre les doigts. ;) L'odeur est plutôt légère car le froid l'atténue. On sent un parfum doux de chocolat au lait, bien sucré et gras, le cacao est sensible de façon discrète une fois qu'on se sera habitué à la senteur sucrée. Les noisettes se sentent d'ailleurs plus que le cacao.
Je croque ensuite du bout des dents dans le petit lingot. Il comporte des textures distinctes puisqu'il est composé d'une pâte fondante enrobée d'un chocolat plus dur. La coque est croquante mais très fine, elle est toutefois plus épaisse en dessous. Cela fait comme une semelle, une base solide. En dessous la pâte fondante ne présente aucune résistance à mes incisives. Un peu comme une pâte à tartiner réfrigérée, le tout fond rapidement en bouche avec une grande onctuosité. La base du Pyrénéen met un peu plus de temps que le reste à se dissoudre.
Le goût est bon mais il y a des choses à signaler. On a en premier une impression de fraîcheur puis au fur et à mesure que le chocolat fond une douceur se développe. Le lait (bien senti) et le sucre fournissent cette douceur mais les matières grasses végétales y contribuent aussi avec leur texture dense et très fondante. Les noisettes apparaissent ensuite, ajoutant un peu de caractère. Le cacao vient en dernier, contrastant légèrement avec la douceur lactée et sucrée. Il est assez faible mais se prolonge longuement en bouche. Cela fait que l'on en a une bonne perception vu qu'il a alors le champ libre. ;)
La structure croquante et fondant de cette spécialité est vraiment caractéristique. On la retrouve toujours mais il y a bien une dégradation du niveau gustatif des Pyrénéens. En effet je ne ressens plus aussi bien la chaleur qu'apportent en bouche le beurre ou la crème. Un trait de caractère que j'appréciais tant il y a longtemps. Au moins on n'a pas de goût rance d'huile végétale comme cela peut parfois être le cas. Je suppose que les arômes de vanille présents jouent un rôle dans la perception de douceur. L'ensemble est bien dosé, bon et gourmand mais on saturera rapidement à cause du gras et du sucre présents.
Un bonbon à la fois me suffit amplement, dégusté tranquillement. J'ai tenté de manger des chocolats à température ambiante. Là ce n'est plus vraiment de la déception, on ressent bien plus fortement le goût des huiles végétales. Le cacao ne suffit pas à les camoufler. Cela devient très très écœurant, de plus le chocolat fond très vite en bouche, quasiment aucune tenue. Ressentir cet aspect permet en tout cas de modérer la frénésie meurtrière qui s'empare de certains consommateurs entamant une boîte de ces chocolats. :)
Je reconnais que j'aime retrouver ces Pyrénéens même si la qualité a baissé. :( Le plaisir fondant, réconfortant du chocolat au lait contrastant avec la coque fraîche et croquante est toujours agréable. Je vous mets tout de même en garde concernant l'évolution négative de la recette, à vous de voir. ;) Pauvre Maurice, aimerait-il déguster ces Pyrénéens des temps modernes ? J'en doute sérieusement......
Allez, place aux bonus ! Comme je suis un gros crétin j'ai tendance à me servir du fait que ces chocolats soient très mous à température ambiante. ;) Ainsi, on peut par exemple disposer un Pyrénéen sur une tartine grillée et l'étaler au couteau, c'est très sympathique. On peut aussi le faire fondre pour faire un lit chocolaté dans une ramequin de crème.
Il m'arrive également de fourrer des muffins de ces chocolats directement sortis du réfrigérateur. J'ai d'ailleurs constaté que je n'étais pas le seul me prêtant à cet usage. Impeccable pour recycler les stocks de chocolats de Noël inutilisés. :)
Le chocolat est lisse et doux grâce aux courbes. Le passage au réfrigérateur l'a rendu dur au toucher et évidemment froid. :) Attention à ne pas le tenir trop longtemps entre les doigts. ;) L'odeur est plutôt légère car le froid l'atténue. On sent un parfum doux de chocolat au lait, bien sucré et gras, le cacao est sensible de façon discrète une fois qu'on se sera habitué à la senteur sucrée. Les noisettes se sentent d'ailleurs plus que le cacao.
Pyrénéen Lait Lindt |
Vu de dessous. |
Je croque ensuite du bout des dents dans le petit lingot. Il comporte des textures distinctes puisqu'il est composé d'une pâte fondante enrobée d'un chocolat plus dur. La coque est croquante mais très fine, elle est toutefois plus épaisse en dessous. Cela fait comme une semelle, une base solide. En dessous la pâte fondante ne présente aucune résistance à mes incisives. Un peu comme une pâte à tartiner réfrigérée, le tout fond rapidement en bouche avec une grande onctuosité. La base du Pyrénéen met un peu plus de temps que le reste à se dissoudre.
Le goût est bon mais il y a des choses à signaler. On a en premier une impression de fraîcheur puis au fur et à mesure que le chocolat fond une douceur se développe. Le lait (bien senti) et le sucre fournissent cette douceur mais les matières grasses végétales y contribuent aussi avec leur texture dense et très fondante. Les noisettes apparaissent ensuite, ajoutant un peu de caractère. Le cacao vient en dernier, contrastant légèrement avec la douceur lactée et sucrée. Il est assez faible mais se prolonge longuement en bouche. Cela fait que l'on en a une bonne perception vu qu'il a alors le champ libre. ;)
Pyrénéen entamé. |
La structure croquante et fondant de cette spécialité est vraiment caractéristique. On la retrouve toujours mais il y a bien une dégradation du niveau gustatif des Pyrénéens. En effet je ne ressens plus aussi bien la chaleur qu'apportent en bouche le beurre ou la crème. Un trait de caractère que j'appréciais tant il y a longtemps. Au moins on n'a pas de goût rance d'huile végétale comme cela peut parfois être le cas. Je suppose que les arômes de vanille présents jouent un rôle dans la perception de douceur. L'ensemble est bien dosé, bon et gourmand mais on saturera rapidement à cause du gras et du sucre présents.
Un bonbon à la fois me suffit amplement, dégusté tranquillement. J'ai tenté de manger des chocolats à température ambiante. Là ce n'est plus vraiment de la déception, on ressent bien plus fortement le goût des huiles végétales. Le cacao ne suffit pas à les camoufler. Cela devient très très écœurant, de plus le chocolat fond très vite en bouche, quasiment aucune tenue. Ressentir cet aspect permet en tout cas de modérer la frénésie meurtrière qui s'empare de certains consommateurs entamant une boîte de ces chocolats. :)
Je reconnais que j'aime retrouver ces Pyrénéens même si la qualité a baissé. :( Le plaisir fondant, réconfortant du chocolat au lait contrastant avec la coque fraîche et croquante est toujours agréable. Je vous mets tout de même en garde concernant l'évolution négative de la recette, à vous de voir. ;) Pauvre Maurice, aimerait-il déguster ces Pyrénéens des temps modernes ? J'en doute sérieusement......
Pyrénéen Lait Lindt |
Allez, place aux bonus ! Comme je suis un gros crétin j'ai tendance à me servir du fait que ces chocolats soient très mous à température ambiante. ;) Ainsi, on peut par exemple disposer un Pyrénéen sur une tartine grillée et l'étaler au couteau, c'est très sympathique. On peut aussi le faire fondre pour faire un lit chocolaté dans une ramequin de crème.
Pyrénéen fondu et crème. :) |
Il m'arrive également de fourrer des muffins de ces chocolats directement sortis du réfrigérateur. J'ai d'ailleurs constaté que je n'étais pas le seul me prêtant à cet usage. Impeccable pour recycler les stocks de chocolats de Noël inutilisés. :)
Muffin à la polenta et cœur Pyrénéen. :) J'ai même mis de la farine de sarrasin, ça défonce ! |
10/04/2016
mon dieu, je bave devant tes muffins, ce chocolat ce n'est pas mon truc mais dans les muffins sa doit être pas mal
RépondreSupprimerau passage je viens de découvrir le blog " piment oiseau " grâce à ton lien, et c'est une mine d'or culinaire
:) C'est vrai qu'il est bien, ça fait plaisir de voir des blogs d'amateurs pleins de bonnes idées.
RépondreSupprimerPour mes muffins, je les ai faits en même temps que ceux-là : https://flic.kr/p/FKyEzg
J'ai séparé la pâte en deux. Un tiers où j'ai mis du sucre de canne et avec laquelle j'ai fait les muffins aux Pyrénéens. Et les deux-tiers restants où j'ai mis du sel, du curcuma et des graines de pavot.
Le point d'interrogation est dû au fait que la recette était tenue secrète, d'où le surnom de "chocolat mystère"
RépondreSupprimerRien de commun avec ceux d'avant. Un honte. Un scandale gastronomique. Peu amateur de ces "crottes au chocolat", ces pyrénéens étaient un bonheur. Ceette
RépondreSupprimerespèce de comment dire, "frigidation" de la texture était une merveille. Honte aux techniciens suisses dont la réputation est massacrée par les intérêts des financiers au service des actionnaires. J'en appelle aux anciens salariés au courant des recettes d'origine pour lancer un site coopératif de fabrication.
J ai découvert ces chocolats quand j'étais étudiante dans les Pyrénées dans les années 80, pas encore commercialisés par Lindt. Les produits vendus de nos jours, n'ont rien à voir avec les originaux. Dommage.
RépondreSupprimerEn 2022 la boîte ne fait plus que 175 grammes et contient 24 bouchées.
RépondreSupprimerMais Lindt a t il vu que Lidl a plagié les Pyrénéens avec les Alpins ?? Que la boîte et les dessins sont pratiquement les mêmes ? Malgré apparemment un antécédent avec le Lapin or en 2017. Et ces chocolats les Alpins sont très en dessous pour ne pas dire nuls. Aucune onctuosité. Passez votre chemin !!
RépondreSupprimerImpossible de finir la boîte, à la poubelle le goût de gras
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